jeudi 30 octobre 2014

L'histoire de Pi



Réalisé par: 
Ang Lee

Année d’apparition:
2012

Synopsis: 
Piscine Molitor Patel, alias Pi, vit une vie presque normale dans un zoo à Polichéry en Inde avec ses parents et son frère. Un jour, vu leur situation économique, la famille Patel se voit forcée de déménager leurs pénates et tous leurs animaux en Amérique. Voyageant par bateau, la famille ne voit pas venir le terrible naufrage qui les attend et qui les tuera tous. Toutefois, sortie sur le pont pendant la tempête, Pi réussit à s'en sortir et se retrouve alors seul sur un canot de sauvetage avec un zèbre, une hyène, un orang-outan et un tigre. Bientôt, les animaux se mangeant entre eux, seul le tigre, Richard Parker survit. Alimenté par sa propre peur, Pi doit toujours être alerte, trouver à manger pour Richard Parker s'il ne veut pas se faire manger lui-même, assurer sa propre survie, etc. S'entame alors un voyage difficile et extraordinaire au milieu d'un océan déchaîné, mais tellement magnifique.

Critique:
L'histoire de Pi est un film d'aventure original et captivant qui nous entraîne dans les endroits les plus merveilleux de la Terre et nous en apprend sur nos capacités de survie en tant qu'humains. Bien qu'assez irréaliste, l'histoire du film est si bien abordé que, sur le coup, on embarque et on oublie notre vie toute simple. On se laisse envahir par la fiction et on peut s'imaginer à la place du personnage, ce qui augmente son allure de héro. La qualité des images est si exceptionnelle, c'en est à coupé le souffle. Les couleurs, les plans caméra, les effets subtils, amis efficace, stimule notre oeil et nous empêche de nous ennuyer. Alors qu'on pourrait penser trouver des longueurs dans le film, le réalisateur a fait les images telles qu'elles bougent tout le temps, elles sont toujours dynamiques, les plans sont très courts, ce qui fait qu'on ne remarque aucune longueur. L'histoire de Pi est un film qu'il faut voir, il contient une histoire fabuleuse qui peut nous en apprendre sur nous-même et il est merveilleusement bien réalisé. J'espère que vous l'apprécierez autant que moi...

vendredi 24 octobre 2014

Forest Gump



Réalisateur:
 Robert Zemeckis


Date de sortie: 
1994

Synopsis:
 Forrest Gump, un jeune homme toujours repoussé à cause de son QI peu élevé, rencontre alors qu'il est enfant Jenny, une jeune fille qui a certains problèmes familiaux et qui deviendra sa meilleure amie. En grandissant, Forrest se retrouve impliqué dans plusieurs événements historiques et se voit décerner plusieurs honneurs contre son gré toujours dans un seul but, avoir Jenny dans sa vie. Alors qu'il assiste à l'entrée de noirs à l'université, qu'il se bat au Viêt-nam, qu'il est engagé par l'armée comme joueur de ping-pong, qu'il devient millionnaire grâce à une compagnie de crevettes, qu'il devient une vraie célébrité grâce à ses prouesses à la course, Jenny, elle, se bat avec ses vieux démons. Peu importe les efforts de Forrest, Jenny et lui se retrouvent toujours séparés par quelques événements de la vie. Jusqu'à ce qu'un jour, Jenny revienne...

Critique: 
Le film Forrest Gump n'est pas seulement un bon film. C'est aussi une magnifique leçon sur les préjugés qui nous habitent encore aujourd'hui. De plus, le travail du réalisateur est tout simplement formidable. La façon dont les plans sont coupés, les différents plans et mouvements de caméra permettent au spectateur de rester accroché et de mordre dans le film à pleines dents. Le scénario est délicieux, le spectateur peut facilement s'identifier à quelque personnage que ce soit et l'histoire constitue un fil parfaitement bien construit. Forrest Gump est un petit bijou qu'il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie.

Les technicalités du montage:

1. Raccord sur le mouvement:
 Le film commence et Forrest débute son histoire. Il est assis sur un banc et parle à une dame qui attend l'autobus. À un certain moment, on retourne dans l'enfance de Forrest. Il advient alors que le visage de Forrest enfant se superpose sur celui de Forrest adulte, ce qui en fait un raccord sur le mouvement.

2. Loi du 180 degrés: 
Il est temps pour Forrest d'entrer à l'école, donc sa mère va voir le directeur pour s'informer sur les différentes possibilités. Alors que la mère et le directeur parle dans le bureau de ce dernier et que le dialogue est effectué en champ-contre-champ, la loi du 180 degrés est respectée. 

3. Jump cut:
 Forrest vient d'interrompre les ébats de Jenny avec un jeune homme violent dans la voiture de celui-ci et a défendu son amie en frappant l'homme. Jenny, fâchée de ce comportement, le gronde fortement, lui pardonne et l'amène à sa chambre. Le temps qu'ils se rendent à cette chambre est coupé. Un plan, ils sont dehors, l'autre ils sont dans la chambre, ce qui en fait un jump cut.

4. Plan de coupe:
 Forrest est dans l'autobus, en direction vers l'armée et il vient de rencontrer Bubba. Celui-ci aime beaucoup les crevettes et il raconte à Forrest à quel point ce marché est important et prend une très grande place dans sa famille. On a alors un plan de coupe pour voir la mère et la grand-mère de Bubba, une à la suite de l'autre, servir un plat de crevettes. 

5. Changement de format de plans: 
Forrest et son régiment son au Viêt-nam et se font attaquer. Forrest court pour se mettre à l'abri. Au bout d'un moment, se rendant compte qu'il est seul et qu'il a laissé derrière lui son meilleur ami, il décide de rebrousser chemin pour aller chercher Bubba. 

6. Transition sonore: 
Forrest trouve Bubba dans la forêt Viêtnamienne et tente de le ramener en sécurité. Au dessus d'eux, on retrouve les arbres de la forêt, on ne voit donc pas le ciel. Toutefois, on entend le son des avions. Le plan d'après, on voit ces avions.

7. Surimpression:
 Jenny et Forrest sont à l'extérieur, assis sur une roche et regardent les feux d'artifices qui s'impriment ensuite dans la télévision qui est à l'intérieur. On voit ensuite Forrest apparaître derrière la télévision. On peut dire qu'on retrouve ici une surimpression très intelligente.


vendredi 10 octobre 2014

Back Light

Un backlight est une source de lumière placé derrière le sujet pour créer un contraste, un effet de trois dimensions. Dans n'importe quel vidéo, que ce soit un film, une émission, une publicité, un vidéoclip ou même dans une photographie, on retrouve des backlights partout puisque c'est un élément très important de l'éclairage. Voici quelques exemple assez  original pour démontrer l'importance du backlight
 
 
 
 
 
Exemple 1:
Dans le vidéoclip d'Alex Nevsky, On leur a fait croire, on voit les backlight lorsque les personnages sont debout et marchent dans la rue, entre autres. On peut apercevoir le reflet de la lumière dans leurs cheveux. Il y a plusieurs scène ou est utilisé ce genre d'éclairage.

https://www.youtube.com/watch?v=_XASYGn_2nc
 
Exemple 2:
Dans cet extrait de l'épisode 3 de la saison 1 de Dexter, le backlight est utilisé avec les trois personnages. En premier lieu, on voit que Dexter est très bien détaché du mur du fond. En deuxième lieu, on peut remarquer le contraste créer derrière ses deux interlocuteurs en face de lui.


 
 
 
 
 
 
 
 

samedi 27 septembre 2014

M. Night Shyamalan


 


 M. Night Shyamalan ( Manoj Nelliyattu Shyamalan ) est un scénariste, producteur, acteur. Nous le connaissons surtout comme un réalisateur indien de cinéma américain.


Filmographie :
1992 : Praying with anger.
1998 : Wide awake (Éveil à la vie)
1999 : The sixth sense (Le sixième sense)
2000 : Unbreakable (Incassable)
2002 : Signs (Signes)
2004 : The village (Le village)
2006 : Lady in the water (La jeune fille de l'eau)
2008 : The happening (Phénomènes)
2010 : The last airbender (Le dernier maitre de l'air)
2010 : Devil
2013 : After Earth (Après la terre)

 
« J’aime les histoires sombres. J’aime les dénouements complexes. J’aime des développements dans mes histoires qui appellent des sentiments diamétralement opposés. Mes films doivent provoquer quelque chose quand on les voit. La part d'horreur dans mes films est seulement un masque qui doit faire prisonnier le spectateur, le poussant à regarder plus exactement et à mieux écouter ce qui se passe ! »
— M. Night Shyamalan




 Le Sixième sense

                                                                   
Date de sortie : 
6 Août 1999

Synopsis :
L'histoire commence lorsque Dr Malcolm Crowe rencontre le petit Cole Sear. Ce dernier, possède un terrible secret : il voit aller et venir des revenants. Le docteur se sent  responsable de Cole, car celui-si lui rappelle un autre enfant qui avait les mêmes perturbations que Cole, et la dernière fois, Malcolm avait échoué.. Malgré ses problèmes de couple, Malcolm s'investit à fond pour trouver une solution pour Cole qui n'en peut plus d'avoir peur. C'est après avoir démasquer la meurtrière d'une jeune fille nommée Kira que Cole commencera à assumer son "don" spécial et être moins défrayer. Le docteur Crowe réalise alors qu'il a atteint son but et qu'il a réussi là où il avait échoué quelques années plus tôt. Toutefois, il doit s'apercevoir lui-même d'une terrible réalité qu'il refuse de voir jusqu'à ce que Cole lui ouvre finalement les yeux.

Critique : 
Sensationnelle! Merveilleux! Épatant! Époustouflant! Tous des qualificatifs qui représentre très justement ce film. Le sixième sens est basé un peu comme un film d'horreur; la musique, les costumes et plusieurs autres éléments nous font froid dans le dos. Pourtant, c'est plutôt un film psychologique, un thriller avec certaines scène d'épouvante. Je déteste tout les film d'horreur. Pour moi, c'est de la violence gratuite qui ne mérite pas toujours d'être présenté au grand cinéma. Mais celui-si, comme il n'est pas d'horreur classique; avec un monstre qui veux tuer la jolie blonde dans les bois, je l'ai adoré. On voit plutôt que c'est Cole qui se crées des idées dans sa tête. Les méchants ne son pas méchant, ils veulent simplement de l'aide. Les aspects du montage, l'éclairage et les prises de vue sont hallucinante. Je le conseille a tout le monde.

Trouver M. Night  Shyamalan:
M.Night Shyamalan apparait dans tout c'est film, un peu à la manière d'Hitchcock.  Dans le sixième sens, la scène où le réalisateur Shyamalan apparaît est lorsque, après s'être fait enfermé dans le "donjon" par deux petits garçons, Cole en ressort évanoui et doit aller à l'hôpital. Le docteur qui s'occupe alors de Cole et qui parle avec sa mère est incarné par Night Shyamalan.

 Analyse du langage cinématographique :

Effet de reflet: (4:55)
Au tout début du film, le docteur Malcolm Crowe et sa femme Anna parle devant un feu de cheminée et Anna lit à son mari la plaque de reconnaissance qu'il a reçu de la ville de Philadelphie. Juste après ce moment, Malcolm remercie sa femme en lui embrassant les doigts. C'est à ce moment qu'il y a un effet de reflet des deux amoureux dans la plaque de Malcolm.

Over head shot: (10:38) 
Malcolm vient de recevoir une balle dans le ventre. Il est propulser sur le lit et c'est la que ce produit le Over head shot. Sa femme vient ensuite le rejoindre et pleur a ses coté Toujours avec ce plan là.



Plan séquence : (17:15 à 19:17)
La mère de Cole fait du lavage. Elle entre ensuite dans la cuisine où elle ferme tous les armoires. Cole entre a son tours dans la cuisine pour déjeuner. La cravate de Cole est sale alors sa maman la prend pour aller la nettoyer. Elle retourne alors dans la salle de lavage puis revient dans la cuisine. Stupéfaite, tous les armoires de la cuisines sont ré-ouverte. Il y a une dialogue avec Cole et le plan séquence se termine lorsqu'elle remarque les mains de Cole étamper sur la table.


Plan subjectif : (26:00)
Malcolm joue avec Cole. Lorsque Cole recule ou avance, la caméra remplace ses yeux et fait un travelling avant ou arrière. C'est donc là, un très beau plan subjectif qui nous donne une bonne impression de la distance entre Cole et Malcolm. 

Caméra épaule: (55:14)
Cole se lève durant la nuit pour aller aux toilettes. Une dame avec une robe de chambre rose passe derrière lui dans le couloir et se dirige vers la cuisine. Curieux et effrayé, Cole suit la dame. Alors qu'il marche dans le couloir, on est en mode caméra-épaule pour donner l'impression que nous sommes ses yeux, comme le plan subjectif.

dimanche 14 septembre 2014

Atonement





Film réaliser par: Joe Wright

Paru en : 2007

                                          
Synopsis:
Ce film se déroule en 1935, c'est l'histoire d'une petite fille, Bryonie, 13 ans, qui vit avec aisance dans une grande demeure avec sa famille, dont sa soeur Cécilia et le fils de la domestique, Robbie. Cependant, entre Cécilia et Robbie, il y avait toujours eu quelques tensions. Cécilia plaidait que c'était parce qu'ils ne fréquentaient pas les mêmes cliques. Un beau jour, Bryonie décide de devenir écrivaine. C'est alors, que Robbie, voulant s'excuser d'une de ses fautes à Cécilia, lui écrit une lettre qu'il lui fait parvenir par la main de Bryonie. Sauf que celle-ci s'autorise à la lire et en même temps, Robbie remarque qu'il n'a pas envoyé la bonne lettre. Dans celle-ci figure des propos sexuels dont il ne veut personne au courant. Par contre, il est trop tard, la jeune Bryonie a déjà ouvert la lettre. Celle-ci commence à s'imaginer des histoires, elle croit que Robbie est un pervers, un accros et c'est à ce moment que tout déboule. Robbie et Cécilia, dans une étreinte amoureuse fugace dans la bibliothèque, se font prendre par Bryonie et plus tard dans la soirée, une jeune fille, invitée chez les Tallis, se fait violer et bien sûr, l'enfant de 13 ans, jalouse par la relation que Robbie a avec Cécilia, s'invente une histoire et tout cela retombe sur Robbie. Il se fait arrêter. Tout va mal. Il a le choix entre la prison et la guerre, et choisit la guerre. Le cœur de Cécilia est brisé et celui de Robbie se sent trahi par Bryonie. Dans le reste du film, les deux amants font tout pour, un jour, se retrouver.


Critique:
J'ai adoré ce film. Les plans de caméra en sont pour beaucoup. Sans eux, le film ne serait pas aussi touchant. Le film joue entre le passer, le présent et une fausse réalité. Le montage crée un fil conducteur pour l’histoire. L’histoire nous fait prendre conscience que les gestes qu’on pose on de grande répercutions et on est responsable de ses actes. Ce film est très touchant et très beau. Je le conseille a tout le monde.

Langage cinématographique



Travellings: (1:00 à 1:44)
ils se retrouvent tous au début du film, la première image qu'on voit est une maison de poupée. La caméra effectue un travelling arrière et tout doucement ce mouvement se transforme en travelling latéral, suivant la trace des animaux en plastiques sur le sol, De plus, caméra commence à monter, en travelling vertical pour finir sa course en travelling avant et finalement, un travelling circulaire autour de Bryonie tranquillement assise sur sa chaise en train d'écrire. Alors, les cinq sortes de travelling se retrouvent au début du film.

Champ-contre-champ: (3:04)
Lorsque Bryonie, toute excitée, vient d'aller porter sa pièce fraîchement écrite à sa mère pour savoir ce qu'elle en pense. La mère de Bryonie lit la pièce de la jeune fille qui est assise à gauche de sa mère. Le champ-contre-champ ce produit lors du dialogue entre Bryonie et sa mère.

Vue en amorce: (3:17)
C'est lors du dialogue entre Bryonie et sa mère sur la pièce de théâtre, on voit la moitié de la tête de la mère de dos a droite, et à gauche, la tête de Bryonie qui répond à sa maman.

Plan subjectif: (6:50)
Bryonie se rapproche de sa fenêtre piqué de curiosité par le son d'une abeille. On voit d'abord, avec ses yeux, l'abeille, et ensuite elle commence à espionner Cécilia et Robbie qui ont un altercation agitée sur le bord de la fontaine. On vague alors entre le visage de Bryonie et sa vision.

 
Plan rapprocher taille: (5:56)
Un jeune homme du nom de Danny entre dans la pièce pour écouter Bryonie présenter la pièce de théâtre à ses cousin. Il y a là aussi un plan rapproché taille.
                                                 

Plan subjectif: (6:50)
Bryonie se rapproche de sa fenêtre piqué de curiosité par le son d'une abeille. On voit d'abord, avec ses yeux, l'abeille, et ensuite elle commence à espionner Cécilia et Robbie qui ont un altercation agitée sur le bord de la fontaine. On vague alors entre le visage de Bryonie et sa vision.

 
Règle des tiers: (21:07)
Robbie tente d'écrire une lettre à Cécilia en s'excusant de son comportement qu'il a eu plus tôt et il se tient, assis sur la deuxième ligne des tiers horizontal. On le voit de dos, puis ensuite de côté, où il se tient toujours sur la même ligne.

Effet de reflet: (21:54)
Cécilia se prépare pour un souper. On la voit se préparer dans le miroir, ce qui crée l'effet de reflet.  

Très gros plan/Insert: (24:39)
C'est le moment où Cécilia, de son côté, se prépare pour le souper donner en faveur du retour de Léon, on fait un très gros plan sur la barrette en diamant en forme d'étoile qu'elle pose dans ces cheveux, on découvre plus tard que cette barrette à un rôle plutôt important.

Plan américain: (24:54)
Le moment où Robbie, après avoir écrit sa lettre, se rend dans sa cuisine. On le voit d'abord de côté, où il arrête devant une porte et regarde à l'intérieur, là, où se trouve sa mère, assise sur une chaise entrain de dormir et puis on le voit de face, donc de l'intérieur de la cuisine, dans le cadre de porte. C'est deux bout de scène sont en plan américain,  coupé aux genoux de Robbie.

Plongé et contre plongé: (33:26)
Robbie tombe face à face avec Cécilia. C'est à ce moment qu'on voit Robbie avec la vue en plongée, pour montrer qu'il est vulnérable et qu'il n'a pas le pouvoir et qu'on voit ensuite Cécilia en contre-plongée pour montrer qu'elle est puissante dans cette situation, c'est elle qui détient le dernier mot.
                                                       

Gros plan: (42:16)
On voit en gros plan la tête de Bryonie qui a l'air inquiète, seule dans la foret. Elle découvre, Lola en train de se faire agresser sexuellement dans les buissons et échappe la lampe de poche sous le choc. Elle voit l'homme s'enfuir et s'imagine alors que c'est Robbie, mais on découvre bien rapidement que ce n'est pas lui.

Regard hors-champ: (59:40)
Robbie se trouve dans la forêt avec ses coéquipiers de guerre et l'un deux lancent ses bottes à bout de bras, il décide d'aller les récupérer, il se relève et fixe quelque chose qu’on ne voit pas dans le plan de la caméra.

Plan rapprocher épaule: (01:00:41)
C'est le moment où Robbie, avec son regard hors-champ, dans les bois, découvre les corps des femmes au sol. Quelque secondes plus tard, on le découvre dans un plan rapproché épaule avec des larmes dans ses beaux yeux bleus.

Panoramique: (01:01:20 à 01:01:35)
Robbie baisse la tête pour lasser ses souliers et au même moment, on entend un grand splash, car Bryonie a sauté dans l’eau. Robbie remonte la tête et c’est là que le panoramique vertical se fait, comme si on était sa tête. Un peu après, Robbie dévale les bassins en courant et la caméra effectue alors son panoramique horizontal, suivant la trace de Robbie. Bien sûr, il sauve Bryonie, mais il devient très fâché, car ils auraient pu se noyer tous les deux.

Plan grand ensemble: (01:03:24)
On voit les trois hommes marcher. Juste avant, on a la scène où Tommy parle sans arrêt et critique pleins de choses. Robbie et Frank ne dise rien, c'est comme si il parlait dans le vide. Dans la scène, où l'on a le plan de grand ensemble, on voit une rivière qui sépare une grosse fondation en métal et on entend encore Tommy parler dans le vide. Au loin, on ne voit rien, c'est comme si l'infini s'étendait devant eux.



Plan séquence: (01:05:18 à 01:10:24)
Dans ce plan, on voit la bataille de Dunkerque, mais pour être plus précis, c'est plutôt l'attente des soldats britanniques qui cherchaient à retourner en Angleterre. On voit d'abord Robbie arriver sur la plage et aller parler a un commandant, et celui-ci, lui dit que les bateaux ont été attaqués et qu'ils attendent des nouvelles des britanniques. Par la suite, on voit Robbie, Tommy et Frank marcher sur la plage. On remarque qu'il a beaucoup d'hommes et on voit aussi des chevaux se faire tirer dans la tête, des soldats qui veulent passer le temps, en s'amusant, pleurant, s'entraînant, chantant, buvant et bien d'autres choses. C'est un très beau plan-séquence.

Plan moyen: (01:22:05)
La scène, on voit Bryonie, marcher vers la caméra d'un pas très décidé. D'abord elle est plutôt éloignée, mais on la voit en entier, et puis elle se rapproche et on effectue un travelling arrière. On la voit s'avancer en même temps que les lumières s'allument une à une, comme si c'était une pure coïncidence. Elle porte son uniforme d'infirmière pour ensuite se diriger vers la gauche, où elle sort du champ de vision. En gros, cela est bien décrit dans le plan moyen : "il cadre le personnage en entier, de la tête au pieds et l'inscrit dans une partie du décor.

Plan d'ensemble: (01:35:50)
On voit Bryonie, à l'âge de 18 ans, qui se rend au mariage de Lola, son amie d'enfance. On voit la jeune fille marcher dans la rue, on distingue le quartier, avec les bâtiments et juste devant elle, l'élégante et gigantesque église. C'est donc le plan d'ensemble.

Split screen:
Il n'y en a pas.

Over head shot:
Il n'y en a pas.

Zoom avant:
Il n'y en a pas.

Zoom arrière:
Il n'y en a pas.

Caméra épaule:
Il n'y en a pas.

Effet de portail:
Il n'y en a pas.

Effet d'interdépendance:
Il n'y en a pas.